La nuit tombait mollement sur lille, enveloppant les toits d’une méfiance diffuse que seules les lanternes venaient décourager par intermittence. Dans le silence de sa chambre, Éléonore Duprey fixait la seconde lettre posée amenées à elle, son regard oscillant entre attrait et appréhension. La voyance, qui jusque-là n’avait subsisté pour https://mariofrzer.blog4youth.com/34227096/le-poids-des-données