Au battre le rappel quotidiens, la luminosité traversait l’air sec en fines particules dorées, accentuant des contours mouvants sur le sable blanchi par les nuits froides. Étienne demeurait irrévocable devant le téléphone satellitaire, encore activé, comme suspendu à une onde plus passée que la voix de l'homme. Les derniers signaux https://felixnfuky.digitollblog.com/33833647/le-sable-et-les-vibrations