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Le fil consumé

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À Bucarest, les toits de cuivre oxydés luisaient d’un scintillement terne par-dessous les premières pluies d’octobre. Dans un domicile excentré, à l’abri de quelques regards, une féminitude nommée Daciana avait transformé une fonds propre en sanctuaire vibratoire. Spécialiste en radiesthésie sur l’adolescence, elle manipulait son pendule avec une précision qui https://marcovgpyh.livebloggs.com/40477140/le-cours-consumé

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