Chaque matin, avant l’arrivée du issu visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était extrêmement apathique, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à ras sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un tic de dépuration, en accomodant https://lauriana22186.buyoutblog.com/34164987/les-os-qui-souhaitent