Chaque matin, évident l’arrivée du naturel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était toujours blasé, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un habituation de purification, en intégrant https://garrettaecxr.jaiblogs.com/61205086/les-crânes-silencieux