À clermont-ferrand, dans un futur conforme saturé de réseaux invisibles et d'indications ambiantes, une pétard étrange s’était mise à tomber n'importe quel nuit. Elle n’avait ni couleur, ni odeur, ni chaleur. Pourtant, elle laissait sur les surfaces vitrées des milliers de prénoms, dessinés par condensation digitalisation, comme une encre formée https://fernandoxazyu.rimmablog.com/33351227/la-feu-des-prénoms